50 bonnes raisons de choisir l’optimisme !

  • 12 Mai 2016
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En ces temps troublés où la terreur semble avoir chassé ce qui nous restait d’insouciance, où la colère et le chagrin divisent nos nations, un tout petit livre s’impose par sa grande nécessité.

Dans « 50 raisons de choisir l’optimisme », Thierry Saussez, un des grands communicants français, créateur du Printemps de l’Optimisme, nous inspire à regarder la vie sous un prisme ensoleillé. Dans une approche aussi philosophique que scientifique (études à l’appui), il nous démontre que l’optimisme est essentiel à notre épanouissement au quotidien.

Ses conseils ne restent pas théoriques. Nourris de l’expérience personnelle de l’auteur, succès comme échecs, ils s’apprécient comme une grande bouffée d’oxygène. Chez DareDo, on adore ! Pourquoi ? Parce que ces petits textes aussi courts que profonds nous incitent à réfléchir en rose et que ça nous fait du bien. Parce que la morosité est plus que jamais un état d’esprit à dépasser.

Piqûres de rappel pour les uns, pistes de méditation ou d’action pour les autres, ces réflexions lumineuses nous incitent à cultiver notre hygiène mentale en accordant une attention particulière à l’impératif ratio de pensées positives supérieures aux négatives, garant de notre bien-être. Parce que ces conseils résonnent comme les notes de l’Ode à la Joie et nous invitent notamment à garder notre curiosité en éveil, à définir nos objectifs en fonction de nos forces, à pratiquer la bienveillance en toute circonstance et opter pour la zen attitude.

Pour toutes les raisons qui font qu’après avoir lu la dernière page, on se sent plus enthousiaste, plus énergique, et animé de l’envie de vivre pleinement ses rêves avec la foi de pouvoir les réaliser. Enfin, parce que, quand Thierry Saussez nous incite à plus de courage, nous y trouvons un écho de notre définition de l’audace. Et, sans vous dévoiler toutes les perles du livre, nous nous permettons d’en louer ici ce passage de haute circonstance, en guise d’avant-goût :

« Le courage vous est nécessaire. Lorsqu’on évoque cette force de caractère, on pense d’abord à la bravoure, au panache des grands héros de notre histoire, à tous ceux qui assurent aujourd’hui notre sécurité et notre défense, en particulier aux forces spéciales qui viennent encore de prouver leur abnégation et leur efficacité. (…) Cela ne nous concerne pas seulement en tant que citoyens mais aussi comme exemple dans notre vie quotidienne.

Cette bravoure n’élimine pas la peur mais fait appel à des exercices quotidiens pour développer des aptitudes intellectuelles et physiques, l’esprit et le corps, afin de rester maître de nos émotions, de nos pulsions, de nos intuitions. Cette maîtrise de soi, évoquée souvent au travers de ces pages, nous devons individuellement la cultiver. C’est une force qui mêle la grandeur et la générosité, prépare à une intervention en cohérence sans rupture d’équilibre entre la réflexion, l’analyse des données et l’action. Elle dépend de la volonté, de l’engagement, de la prise de conscience, du défi à relever, de l’évaluation de la situation et, enfin seulement, du choix de la réponse appropriée.

Il y a le courage psychologique, celui qui nous permet de ne pas baisser les bras, de mobiliser des pensées et des énergies positives pour rester debout, faire face à la maladie, aux grandes épreuves de la vie. Je n’oublie pas le courage moral : la force de défendre une éthique, des convictions, des valeurs et de le faire, au-delà d’une grande émotion collective comme celle provoquée par le terrorisme, de façon durable. La peur n’est pas bonne conseillère, la sidération n’est pas suffisante, l’engagement est salutaire.

Mais il y a aussi un courage plus quotidien, presque banal et parfaitement indispensable. C’est celui de nous lever le matin, de faire notre travail, de ne jamais nous réfugier dans l’ignorance, le paravent de tous les abandons. Bouger, changer, entreprendre, agir, c’est surtout manifester une forme de courage. L’enthousiasme est courageux et entraînant. Il ouvre un chemin.

L’optimisme refuse la passivité. Il assume ses responsabilités. Il ne s’enferme pas dans la crainte de l’autre ou du lendemain, du défi à relever ou de l’avenir. »

Prêts pour l’aventure ? ?  

« 50 bonnes raisons de choisir l’optimisme » - Thierry Saussez - Editions Saint-Simon 2016